• La Sélection, Kiera Cass "La sélection" Kiera Cass, édition Robert Laffont

    Présentation de l’éditeur :
     « Dans un futur proche, les États-Unis et leur dette colossale ont été rachetés par la Chine. Des ruines est née Illeá, une petite monarchie repliée sur elle-même et régie par un système de castes. Face à la misère, des rebelles menacent la famille royale. Un jeu de téléréalité pourrait bien changer la donne...Pour trente-cinq jeunes filles du royaume d'Illeá, la « Sélection » s'annonce comme l'opportunité de leur vie. L'unique chance pour elles de troquer un destin misérable contre une vie de paillettes. L'unique occasion d'habiter dans un palais et de conquérir le coeur du jeune Prince Maxon, l'héritier du trône. Mais pour America Singer, qui a été inscrite d'office à ce jeu par sa mère, être sélectionné relève plutôt du cauchemar. Cela signifie renoncer à son amour interdit avec Aspen, un soldat de la caste inférieure ; quitter sa famille et entrer dans une compétition sans merci pour une couronne qu'elle ne désire pas ; et vivre dans un palais, cible de constantes attaques de rebelles...Puis America rencontre enfin le Prince. En chair et en os. Et tous les plans qu'elle avait échafaudés s'en trouvent bouleversés : l'existence dont elle rêvait avec Aspen supportera-t-elle la comparaison face à cet avenir qu'elle n'aurait jamais osé imaginer ? » 

    Facile et distrayante, la lecture de ce roman m’a pris une journée.
    Tout est là pour attirer un public large et avide des paillettes. Une fille d’un milieu modeste (déjà amoureuse de surcroit) qui est tirée au sort dans un jeu, qui a pour le but ultime de sélectionner une femme pour le prince Maxon.
    Apparemment l’action se situe dans un univers futuriste (on voudrait bien avoir un peu plus des détails sur cet univers).
    Une fois la sélection faite, et les candidates enfermées dans leur cage dorée, on suppose (avec une forte probabilité) ce qu’il va se passer ensuite.
    Notre héroïne pense de faire la « vilaine », mais c’est justement son attitude qui va attirer le prince (quelle surprise !). 
    Au début il y a 35 filles, mais rapidement, on sait que, quoi qu’il arrive, America arrivera en tête du peloton, et que ses sentiments envers Aspen seront mis à rude épreuve…
    Sans surprise, mais néanmoins bien rythmé et bien écrit, ce roman nous fait passer un agréable moment. Sans plus d’intérêt que ça pour moi. Une lecture d’été par excellence. Garantie sans prise de tête…

     

     

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  • « Bébés mimes », une collection pour favoriser l’éveil des petits, éditions Hatier jeunesse, auteur Armelle Modéré. 

    Présentation de l’éditeur :
    « Des histoires à lire, jouer et mimer avec les bébés dès 9 mois, pour partager rires, câlins et guilis ! Sur chaque page, des indications destinées aux parents permettent d’accompagner la lecture de gestes et de mimes. »
    Une nouvelle collection aux éditions Hatier jeunesse. Destinée aux bébés dès 9 mois, mais surtout une collection qui met en avant l’interactivité entre adulte et l’enfant.
    Quoi de plus plaisant, que de s’amuser avec le bébé, en faisant semblant de le chatouiller, de tomber, et de faire tut tut… (Sur son nez, évidemment !) Quatre petits livres cartonnés qui feront surement le bonheur des bébés et des parents. Des fous rires garantis !
    (Livres cartonnés, 18 pages)

     Quatre titres pour s’amuser en famille :

    Bébés mimes, Hatier jeunesseBébés mimes, Hatier jeunesseBébés mimes, Hatier jeunesse Bébés mimes, Hatier jeunesse

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  • "Poliedrum" Rafael Abalos« Poliedrum » Rafael Abalos, parution : mai 2012.

    Résumé de l’éditeur :
    « Avant de mourir, Layonel Savage, célèbre auteur de BD, a créé « Poliedrum », une œuvre extraordinaire où la réalité et l’imaginaire se côtoient. Pour les personnages, il s’est inspiré de quatre ados fans de son travail : Nathan, Melissa, Timothy et Matheus. Les quatre amis apprennent aussi par les Masters - quatre adultes proches de Savage - qu’eux seuls peuvent entrer dans Poliedrum et sauver cette invention fabuleuse. Enfin, ils vont devenir de vrais héros ! Même s’il faut jouer une partie très dangereuse où les ennemis virtuels deviennent aussi féroces que réels et où le seul guide est un dé à douze faces… »

    Je me suis plongée avec délice dans cet univers un peu décalé, où le faux côtoie le réel.
     Un monde à part, où le roman et les jeux de rôles s’entremêlent, pour ne former plus qu’un.
    « Poliedrum » est un espace imaginaire, crée pour que les enfants puissent y entrer et vivre les aventures de la BD fantasy, tout en étant en dehors du temps réel…
    Une BD hors du commun.

    Mais l’auteur est assassiné, avant la finalisation de son œuvre, et  les créatures tout droit sorties de son imagination pénètrent dans le monde. Nos quatres ados vont devoir y faire face, pour sauver « Poliedrum »,  tout en respectant les règles du jeu…
    Un petit gout de déjà vu, après « Jumanji »et aussi « L’histoire sans fin ».Les deux se sont imposés à moi en cours de lecture.
    J’ai passé quand même un bon moment en lisant ce livre, plein des rebondissements, rempli d’action et qui promet une suite un peu plus corsée que le premier volume (s’il y a une suite… à voir !)
    A partir de 10 ans. 

     

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  • Mon anniversaire...Coucou tout le monde!

    Aujourd'hui, c'était mon anniversaire...Peu importe le chiffre.
    J'ai reçu plein de mots gentils de mes amis, collègues, mes filles etc. 
    Mais... il y en a un qui m'a fait rire pendant un moment, parce que il met en scène un petit personnage aimé par la majorité des petites tètes blondes, et qui me fait frissonner chaque fois que je le vois. Je précise tout de suite qu'il n'est pas seul.
    Je le dis, et j'assume, je n'aime pas les licences, T'choupi, Dora, Petit ours brun, et j'en passe. Mes collègues le savent, et se moquent toujours  à chaque arrivage des" petits- personnages- qui- font-tourner-le-commerce"
    Voilà. L'inspiration de mon collègue m'a fait rire et j'ai envie de la  partager avec vous (désolée pour les fans)

    Bonne soirée

    Dorot'

    Il faut s'accrocher pour pouvoir lire le texte trafiqué de la couverture...Plus visible sur ma page Facebook, je pense...

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  • "Max" Gallimard jeunesse"Max" Sarah Cohen-Scali, Gallimard jeunesse, collection Scripto
    à paraitre 15 mai 2012 

    Résumé de l’éditeur :
    « En 1936 à Steinhöring, en Bavière, dans le premier foyer du programme "Lebensborn", initié par les services de Himmler. Des femmes sélectionnées par les nazis y mettent au monde les représentants de la race aryenne, dans l'optique de créer une jeunesse exemplaire, destinée à régénérer l'Allemagne, puis l'Europe occupée par le Reich. Max, un bébé qui s'apprête à naître, déjà nourri de la doctrine nazie dans le ventre de sa mère, tient absolument à voir le jour le 20 avril, date anniversaire du Führer, afin d'être un prototype parfait. Il grandit sans affection, sans tendresse, sans maman, selon les critères d'éducation de la doctrine nazie. A Kalish, en Pologne, dans une "école" où sont germanisés des enfants kidnappés, il rencontre Lukas, un jeune juif polonais rebelle, qui présente tous les critères physiques de la race aryenne. Max se prend d'amitié pour lui. C'est la première fois qu'il s'attache à quelqu'un. A partir de cet instant, ses croyances nazies vont être sérieusement ébranlées... Une fable historique fascinante et dérangeante sur un sujet trop méconnu: le Lebensborn. »

    On fait connaissance de Max, alors qu’il est encore dans le ventre de sa mère, prêt à naitre, mais déjà conscient du fait qu’il est quelqu'un d’exceptionnel…Il est « l’enfant » de Führer, celui qui va naitre comme premier parmi  des milliers qui vont suivre, des nourrissons conçus dans la violence pour la plupart, élevés sans les parents, endoctrinés de la naissance…

    On suit la croissance de Max pendant neuf ans, au début  on déteste ses propos racistes, remplis d’admiration pour Hitler. Après on passe par tout un éventail des sentiments contradictoires, qui suivent tout simplement l’évolution de la conscience de Max, suite à tout ce qu’il voit et entend (vu qu’il est loin d’être bête), surtout après sa rencontre avec Lucas, juif, qui n’a aucune ressemblance avec LE juif présenté à Max dans ses cours de biologie(eh oui comme un animal nuisible) 

    J’ai eu du mal avec le langage de Max, on dirait un adulte qui parle, mais rapidement on s’habitue.
    Je ne sais pas si on peut l’aimer, Max, mais finalement on s’y attache, et on veut qu’il arrive à y voir clair…
    On a envie de le secouer et de l’adopter, malgré ses propos détestables au début, grace à sa prise de concience ensuite , et  malgré la couverture du livre qui risque de ne pas attirer grand public.
    Une lecture forte, difficile, un sujet rare et peu connu. 

     Lisez ce livre, conseillez le il le mérite vraiment ! 

    Auteur : Sarah Cohen- Scali est née en 1958, au Maroc. Elle écrit des romans policiers et fantastiques pour les petits, les adolescents et les adultes.

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  • "Pirate tétine" Ecole des loisirs"Pirate tétine", 

    Texte et illustrations : Jean-Charles Sarrazin, parution: 20 avril 2012

    Résumé de l'éditeur:
    "C’est plus fort que lui : Lapinou le pirate ne peut plus se passer de sa maudite tétine. Papa et Maman commencent à en avoir ras-le-bol. Cette tétine ne fait faire que des bêtises à leur enfant : il ne les aide pas, il hurle, il ne pense qu’à jouer… Mais d’abord, est-ce qu’un pirate digne de ce nom suce encore sa totoche ? Il faudra une aventure mémorable, sa capture par un renard, papa lui aussi, pour que Lapinou accepte de lâcher sa tétine… Et encore ! Pas complètement…"

    La tétine... le sujet incontournable dans les albums pour les petits! Mais il y en a qui font LA différence. Celui- là, je l'ai découvert aujourd'hui, et j'ai adoré tout de suite ses dessins rigolos, l'histoire avec des rebondissements, et surtout la couverture! J'ai pensé tout de suite à "Tétine Man"(Didier jeunesse) avec sa tète d'un accro à la tétine...Lapinou de notre histoire est pareil. Voyez vous mêmes comment ceci va se finir...La chute hilarante garantie!

    Un album pour les enfants de 3 à 5 ans (enfin, suivant la dépendance à la tétine).

     

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