• Nous sommes en plein été, mais les parents des tout petits angoissent surement depuis l’inscription du petit dernier à la maternelle !

    Sa première année scolaire arrive à grands pas et tous espèrent qu’elle se passera le mieux possible. 
    Quelques albums pour préparer en douceur ce grand événement. 

     
    L’ENTRÉE EN MATERNELLE« L’entrée en maternelle »
    , collection Ficelle et Pom, Sandrine Bosc, éditions Eveil et Découvertes 2011. Livre CD 
    Résumé :
      « Pom prépare sa première rentrée à l'école. Sa maman et sa grande sœur Ficelle sont là pour l'accompagner. Une histoire tendre et joliment illustrée pour les enfants de 3 à 6 ans. »
    Pom va découvrir sa nouvelle école et sa nouvelle maitresse. Il angoisse un peu sur le chemin de l’école, sa grande sœur Ficelle se moque de lui gentiment et la maman le rassure tout en lui expliquant comment va se passer sa journée.
    Un album tout en dialogues et chansons, le CD contient la totalité du texte, ce qui permettra aux petits de l’écouter tout en regardant les illustrations (Sébastien Chebret).

     L’ENTRÉE EN MATERNELLE« Mon voisin Masuda », Miho Takeda, éditions Nobi Nobi !, à paraitre 28 aout 2012.
    Résumé :
      « Miho n’a vraiment pas envie d’aller à l’école : dans sa classe, elle est assise à côté de Masuda, un horrible monstre vert à l’air malicieux. Il la martyrise et se moque d’elle tout au long de la journée. Ce maudit Masuda fait de sa vie scolaire un enfer... Mais le vilain garnement est-il vraiment aussi méchant qu’il en a l’air ? 
    Avec Mon voisin Masuda, Nobi Nobi ! vous propose de découvrir pour la première fois en France un auteur jeunesse renommée au Japon et un ouvrage multi-primé désormais incontournable dans toutes les cours de récré des maternelles japonaises.
    Vous allez adorer détester Masuda ! »
    Un bon moyen de se préparer aux éventuels conflits et de les dédramatiser.  

    L’ENTRÉE EN MATERNELLE

    copyright : © Miho Takeda 1991 • POPLAR Publishing Co., Ltd.

    L’ENTRÉE EN MATERNELLE« 24 petites souris vont à l’école », Magdalena et Nadia Bouchama, Flammarion.
    Résumé :
     «   Demain est un grand jour : les 24 petites souris rentrent à l'école. Inquiètes, elles ont du mal à trouver le sommeil. Mais Maman Souris leur a préparé une surprise. »
    Un joli clin d’œil aux familles nombreuses, la tendresse et les relations fraternelles sont mis en avant dans cet album aux jolies illustrations qui plairont surement aux petits.
    Un petit format et le petit prix.

     L’ENTRÉE EN MATERNELLE « Le grand départ pour la petite école », collection Petit Dernier, Didier Lévy, Frédéric Bénaglia, éditions Sarbacane 2012.

    Résumé :
    « Dans la famille Crumpets, il y a les grands-grands, les grands tout court, les moyens, les petits-petits… et le plus petit de tous les petits : Petit Dernier ! »
     Encore un petit dernier qui va commencer sa vie d’écolier. Et quand on est le dernier de 24 enfants, ce n'est pas toujours facile!
    Si vous aimez cette collection, il y a d’autres titres dont «L'énooorme bobo de rien du tout»

       L’ENTRÉE EN MATERNELLE« L’école de Léon »,Serge Bloch, éditions Albin Michel 2000.
    Résumé :
    « Avant j'allais à la crèche. Mais voilà, maintenant je suis grand, j'ai même une maîtresse qui a des cheveux très longs de princesse. Je vais à l'école. A l'école ma-ter-nelle.  Voici un album drôle et rassurant pour partager avec les petits leurs premiers pas à l'école."
    Un album devenu un classique, qui a rassuré déjà quelques générations de petits écoliers et leurs parents.

    Du même sujet:

    L’ENTRÉE EN MATERNELLE

     

     

     L’ENTRÉE EN MATERNELLEL’ENTRÉE EN MATERNELLE

     

     

       

     



    BONNE RENTREE A TOUS!

    Gabriel- La mare aux mots en parle aussi:http://lamareauxmots.com/blog/moi-jaime-bien-lecole-des-livres-sur-la-rentree-scolaire/

    Un autre article sur la rentrée (dans le monde entier) est ici:http://blog.3-etoiles.fr/2011/08/cest-la-rentree/

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Sentiment 26« Sentiment 26 » ; Gemma Malley ; éditions Michel Lafon
    Présentation de l’éditeur : 
    « Tous les sentiments ont été bannis de la Cité, la haine comme l’amour. Ses habitants ont subi une lobotomie afin de garantir la paix. Étiquetés de A, Admirable, à D, Déviant, ils vivent dans une harmonie artificielle.
    Pourtant Evie, 16 ans, aime Raffy en secret depuis toujours. Et lorsque le Système ordonne de l’expulser sur les terres des Maudits, elle décide de fuir avec lui. Mais au-delà des murs de la Cité se dresse le plus grand mystère qui soit. Quand on sort du Système, nul ne sait ce qu’il advient de vous… »


    « Un changement d’étiquette n’est ni triste ni gai, c’est juste un fait, un fait que l’on provoque soi-même. » (Livre des Sentiments 1/26)

     Un livre efficace et prenant sur le sujet déjà largement exploité, la dystopie.
    Le même univers : une société partie à la dérive autrefois, prise en main par des meneurs qui avaient peut être des intentions idéalistes sur le sujet. Des gens, un groupe qui a imaginé une société parfaite…
    Mais quand l’utopie part à la dérive, le fonctionnement même de cette société s’enraye et c’est la population qui en subit les conséquences…
    Il y a toujours quelqu’un dans ces scénarios, qui s’aperçoit que les choses ne tournent pas rond (un ou une ado dans ces romans pour les jeunes) et qui met tout son courage et sa force de caractère dans la lutte contre l’abus.
    « Sentiment 26 » ne diffère pas des autres livres de la même thématique. Tous ceux qui ont lu « Divergent », « Promise », « Uglies », vont retrouver la même trame, même scénario, mais avec des noms de personnages différents.
    La différence entre ces ouvrages, c’est la qualité d’écriture, pas la thématique.
    Gemma Malley nous embarque dans l’histoire tout de suite, ne nous lâche pas, et on ne pense plus aux clichés de la dystopie. On se laisse aller, on frémit, réfléchit, jusqu’à la dernière page. L’amitié, l’amour, l’interdit, la manipulation aussi, et l’abus de confiance, sont de la partie.
     Une mise en garde également, sur l’influence des médias sur le comportement humain.
    Mais avant tout une belle histoire d’amour condamnée à l’avance, un triangle amoureux (un peu timide quand même), et des personnages hauts en couleurs, qui gardent leurs secrets jusqu’au dernier chapitre.
    Une belle découverte.

     

        

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Sous le signe du scorpion« Sous le signe du Scorpion » ; Maggie Stiefvater ; collection Black Moon

    Présentation de l’éditeur : "Nous sommes le 1er Novembre, quelqu'un va donc mourir aujourd'hui.
    On fait courir les chevaux entre l'eau noire et les falaises de craie.
    L'exercice est périlleux, toujours ;
    Mais jamais autant qu'aujourd'hui, quand des vies sont en jeu.
    Chaque année au mois de novembre se déroulent les Courses du Scorpion.
    Les cavaliers doivent tenir le plus longtemps possible sur leurs dangereuses montures, des étalons de mer cannibales.
    Cette année, Sean Kendrick, dix-neuf ans, tente de nouveau sa chance, bien décidé à arriver premier. Puck Connolly, quant à elle, n'aurait jamais imaginé participer un jour à la course.
    Mais le sort en a décidé autrement.
    Certains concourent pour gagner, d'autres pour survivre."

    Une histoire qui commence tout doucement, une ile bizarre, les chevaux, une course traditionnelle qui a lieu tous les ans à la même époque…début de novembre, le mois du scorpion.
    Les chevaux, oui, mais les chevaux hors du commun, les « capall uisce », les chevaux de mer, les bêtes puissantes et cannibales, mais si splendides…
    Dans l’histoire il y a Sean, un inconditionnel des chevaux, amoureux de ces bêtes puissantes et dangereuses. Il y a aussi Kate Connolly, Puck de son surnom, orpheline, qui va participer à la course pour sauver sa maison familiale.
    Puck et Sean ne se connaissent pas, à priori ils n’ont rien en commun. Ils vont se côtoyer pourtant, faire connaissance  et s’apprécier mutuellement. Un jeu subtil de l’amitié et de l’amour, encadré par l’amour des chevaux et des grandes espaces.
    Une histoire hors du commun, qui remet à sa juste valeur les sentiments et la loyauté.
    Un roman conté à deux voix ; celui de Puck et celui de Sean. On suit l’histoire à travers leurs doutes, leur rencontre, la préparation pour la course, la complicité qui pointe le bout de son nez…une histoire d’amour tout en pudeur, grandiose !
    Un coup de cœur immense pour un grand roman (premier que je lis de cet auteur), je l’ai fini en rien de temps et j’ai encore le gout salé de l’océan dans la bouche, les sifflements du vent dans les oreilles… et les images des « Capall uisce » devant les yeux !
    Juste pour vous donner une idée de lecture : Puck m’a fait penser à une autre héroïne que j’ai admiré il a quelque temps : Pell Ridley (http://www.livres-de-dorot.fr/la-balade-de-pell-ridley-a46371602).
    Indépendante, farouche, loyale, une vraie femme, malgré son jeune âge !  
    Voici des lectures qui me font frémir ! Bravo aux auteurs. 

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • "Trackers" Patrick Carman"Trackers"; Patrick Carman; Bayard jeunesse; septembre 2012 
    Présentation de l’éditeur :
    « UN RAPPORT DE POLICE. DES VIDÉOS SÉCURISÉES. DES CODES À DECRYPTER. Adam Henderson est un petit génie de l’informatique. Depuis l’âge de 8 ans, il passe sa vie enfermé dans le Caveau, une pièce que son père a aménagée pour lui au fond de sa boutique. Le garçon y répare les ordinateurs et disques durs les plus récalcitrants, il y invente des logiciels et des pare-feux d’une incroyable efficacité, mais aussi des gadgets de haute technologie. Son rêve : devenir le nouveau Bill Gates. Un jour, il rencontre ses premiers amis : Finn, un mordu de skateboard, Lewis et Emily, des geeks, comme lui. Ensemble, ils fondent le groupe des Trackers. Leur objectif : tester les inventions d’Adam en détectant les failles de sécurité sur Internet et dans des lieux protégés. Mais les prouesses du garçon ne passent pas inaperçues sur la Toile, et bientôt le piège se referme, obligeant Adam à raconter son histoire… dans les bureaux de la police. Dans l’ère numérique, tout le monde laisse des traces. Méfiez-vous de ceux qui les suivent. »
    C’est dans les bureaux de la police qu’on rencontre Adam pour la première fois. Une enquête est en cours.
    On suit son histoire, on regarde les vidéos…
    Tout le temps il est question d’une affaire du siècle, d’un piège, des vies qui seraient en danger…
    A la fin, on n’a toujours rien vu venir de special !
    Un premier volume d’une série qui met en place les pions, et c’est tout…
    Pour ceux qui ont suivi le « Skeleton Creek » se sera que du réchauffé avec une thématique différente.
    Pour ceux qui découvrent le concept avec l’interactivité, les vidéos, et le site dédié, une sympathique découverte.
    J’ai beaucoup aimé le « Skeleton Creek », pour sa formule novatrice, j’ai lu vite fait les « Trackers », on jetant un coup d’œil sur les vidéos (en plus ils sont décrits en détails à la fin du livre…).
    Lecture dynamique, action sans un temps mort. Patrick Carman sait comment retenir ses lecteurs.
    Mais…Skeleton Creek, maintenant Trackers, on se lasse et on n’attend plus la suite…en tout cas, moi, j’ai mon compte.  

     

     

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    4 commentaires
  • Dicodorus Anastasius"Dicodorus Anastasius"; Céline Sorin; école des loisirs, collection Mouche
    Présentation de l’éditeur :
    « Dicodorus le crocodile est la terreur des animaux qui veulent traverser la rivière. La rivière, c’est sa soupe. De la soupe au zèbre le lundi, au gnou le mardi, régime le mercredi, à l’antilope le jeudi, à la gazelle le vendredi, et à l’autruche le samedi et le dimanche. Dicodorus, le crocodile à l’épaisse carapace, va pourtant se faire un ami… et changer de menu. »


    Le vieux Dicodorus vit tranquillement dans sa rivière, en se nourrissant selon le menu établi.
    Un jour il se fait chasser par un cousin plus fort que lui et trouve un coin bien tranquille pour lui tout seul (on maintient le même menu, bien sur !).
    Un mardi, le jour de la soupe au gnou, il en rencontre un, mais le repas se fera attendre…
    Le gnou en question est vieux, sourd et il ne voit pas clair ! Et il veut traverser la rivière sur un tronc d’arbre.
    Dico va l’aider pour qu’il ne s’abime pas, ne se salisse pas (la nourriture sale et abimé, trop peu pour Dico).
    Une amitié étrange va voir le jour à partir de ce moment là, le crocodile va se faire plein d’amis herbivores et même changer ses habitudes alimentaires… peut-être…
    A partir de 7 ans.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • BZRK Michael Grant« BZRK » Michael Grant ; Gallimard jeunesse ; parution 20 septembre 2012
    « Le monde a besoin d’une nouvelle sorte de héros.
    Une guerre mondiale fait rage.
    Vous ne pouvez pas la voir, mais elle se déroule PARTOUT autour de vous.
    EN VOUS.
    Au plus profond de VOTRE CHAIR. »

    Pas de présentation de l’éditeur pour l’instant (en tout cas pas en français) donc je vous présente le mot de l’auteur, Michael Grant (source : Gallimard  jeunesse):
    «Lorsque j’ai envisagé d’écrire une nouvelle série, après Gone, mon but était de trouver un moyen nouveau d’intriguer, de fasciner et, oui, de terroriser le lecteur. Je voulais trouver de nouvelles frayeurs. (…)
     BZRK est l’histoire d’une conspiration visant à étendre son empire sur le monde en contrôlant artificiellement l’esprit humain grâce à l’utilisation de machines minuscules, invisibles à l’œil nu, dérivées des nanotechnologies. Pris dans cette conspiration, nos héros et leurs ennemis sont confrontés à la folie et à la mort.
     Sadie, Noah, Vincent et  Nijinski d’un cote, les frères Armstrong et Bug Man de l’autre, les bons personnages qui font les bons livres »

    Michael Grant nous entraine dans cette nouvelle saga, dans un monde inconnu et terrifiant.
    Un monde ou tout ou presque, se passe dans une autre dimension, inimaginable pour la plupart.
    Une intrigue politique bien ficelé, des courses poursuites, l’action, manipulations biologiques et psychologiques. Tout y est.
    Mais le plus intéressant, c’est cette incursion dans le corps humain, et plus précisément dans le cerveau, pour le manipuler et « modeler » à sa guise. Des personnages qui évoluent dans le monde macro et nano en même temps, une sorte de dédoublement difficile à appréhender et tellement fascinant ! Le cerveau vu à travers des yeux microscopiques (grâce aux biobots ou nanobots), les cils pareils à des troncs d’arbres, la peau comme « la croute d’une baquette trop cuite »…une autre planète.  
    Un petit extrait :
    « Elle avisa l’immense sphère blanche sous elle, comme si elle était en orbite autour d’une planète étrange, une Terre lisse et glacée, marbrée de rivières écarlates… »
    En plus de l’action sans le temps mort, les personnages sont bien décrits, charismatiques, sympathiques pour la plupart, et attachants.
    Le début d’une trilogie plus que prometteuse !

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    2 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires